À la croisée des sensibilités contemporaines et des élans intimes, les éditos de Strophe.fr offrent un regard libre et vivant sur l’air du temps. Chaque texte y est une respiration, un instantané d’influence, un reflet des courants qui traversent aujourd’hui la poésie – qu’ils soient stylistiques, politiques, esthétiques ou purement émotionnels.
Sans dogme ni format figé, ces éditos s’affirment comme des espaces d’exploration, où l’écriture se fait écho des bruissements du monde et des fulgurances intérieures. Ce sont des fragments d’obsessions, des prises de parole assumées, des invitations à penser – et surtout à sentir – autrement.
par Étienne Poirier, auteur et codirecteur général et administratif du Salon du livre et du Festival international de la poésie de Trois-Rivières. La poésie est ce territoire singulier où les idées s’entremêlent et créent un lieu de rencontre où les individualités se construisent. Elle est
par Sylvestre Clancier, poète, Président de l’Académie Mallarmé et de la Maison de Poésie – Fondation Émile Blémont, fondateur du Grand Prix International de Poésie Léopold Sédar Senghor. Le poète est potier : il a l’art du « Poïein » tel le démiurge dans
par Patrick Verschueren, Président de la Fédération des Maisons de Poésie et éditeur « Jamais ne me suis liée à un seul homme. C’est un empire qu’il me faut ! Celui de l’Esprit pur, Celui qui ose aller tout seul, Celui qui marche dans le
par Patrice Luchet, directeur de la Maison de la poésie de Bordeaux Depuis avril 2022, Bordeaux s’est dotée d’une maison de la poésie, jusque-là rien n’est d’étonnant en effet les grandes villes, pour la plupart, couvrent ce champ de la littérature. Alors qu’est-ce qu’une maison
par Ariane Lefauconnier Le monde brûle. Rien de nouveau dans ce constat, l’image est presque usée tant nous l’avons fait rouler dans nos bouches, tant nous l’avons couchée sur les unes des journaux, criée en slogan sans que rien ne change vraiment. Le monde brûle
par Jean-Yves Reuzeau Ces dernières années, notamment depuis la période Covid, l’intérêt pour la poésie s’est nettement amplifié. À tel point que les ventes de livres du genre sont un des rares secteurs de l’édition en progression. Il n’est plus surprenant que certains recueils parviennent
par Pierre de Cordova J’allais regarder le PSG quand Anaïs m’envoya cette demande, ça vous tente un éditorial pour Strophe.fr, je lui demande sur quoi il doit porter. – Ce que vous voulez– Même le foot ?– Si ça fait sens oui
par Margot Ferrera Un édito en forme de cœur, dessiné sur la paume des participant·es aux scènes ouvertes poétiques qui s’épanouissent un peu partout en France, et à leurs fomentateur·ices. Est ici déposé un bouquet de saison, mal fagoté et émotif, cueilli récemment sur le
par Hortense Raynal – poétesse et performeuse Vulnus. La blessure. La plaie. Le coup. La lésion. Écrire un poème fait vivre la possibilité de l’être vulnérable. La faille. Un poème est une faille. Une brèche dans laquelle on peut entrevoir une vulnérabilité. Et se montrer
par Emmanuel Hoog – Président du Printemps des Poètes C’est toujours la même question qui accompagne le Printemps des Poètes ? Comme au moment du bac où la France entière est réquisitionnée pour se demander : la philosophie à quoi ça sert ? C’est important
par Grégory Rateau Un vent nouveau souffle sur la poésie. Il semble s’inviter un peu partout, que ce soit sur la scène, les rencontres en librairies, les marchés consacrés, les manifestations du Printemps des poètes, les Maisons de poésie, les réseaux sociaux ou encore grâce
Bienvenue en 2025. L’odyssée de la vie sur Terre suit son cours, pas à pas, rêve en rêve, page à page, vers en vers. Parfois on broie du noir mais parfois on aperçoit aussi les étoiles. Quelle sera la toile que nous allons peindre pour
