Margot Ferrera – poétesse et cofondatrice du collectif Mange tes mots – tisse un hommage sensible aux scènes ouvertes, à leurs rituels, à leurs communautés choisies. Ce texte engagé traverse le tumulte des jours en célébrant les espaces où la poésie circule, répare, relie. Entre mémoire collective et pratiques de terrain, elle évoque le “cabaret littéraire” du Lou Pascalou, les voix amies, les corps présents, les silences partagés. Une parole inclusive, ancrée dans l’expérience, qui refuse le repli, qui cherche – et parfois trouve – un souffle contre l’orage.
Les jolies plumes, les conseils ou les critiques se posent également sur les réseaux sociaux, preuve que la poésie s’adapte et vit, partout, avec toujours autant d’expressivité.