

Le Musée de La Poste et Le Printemps des Poètes unissent leurs forces pour une expérience littéraire unique : « La Fabrique du Temps », une série de quatre ateliers d’écriture poétique inspirés de l’exposition éponyme actuellement présentée au musée.
Une invitation à explorer, par les mots, le passage du temps, sa mémoire, ses traces, ses silences.
À travers ces ateliers, le Musée de La Poste et Le Printemps des Poètes proposent bien plus qu’un simple exercice littéraire : une immersion poétique dans la matière du temps.
Chaque séance débutera par une brève visite commentée de l’exposition La Fabrique du Temps, avant de se poursuivre en atelier, guidée par l’un·e des grands noms de la poésie contemporaine française.
Les participants seront invités à s’emparer du thème du temps sous toutes ses formes — le temps vécu, le temps suspendu, le temps intime — pour donner naissance à leurs propres textes, entre prose poétique, fragments et vers libres.
Chacun des ateliers sera animé par un·e poète reconnu·e pour sa singularité d’écriture et sa manière d’habiter le temps.
– Vendredi 8 novembre — Antoine Mouton : “Écrire depuis le temps”
Un atelier pour sonder la mémoire, la durée et la trace, à travers une écriture sensible, ancrée dans l’instant..
– Vendredi 15 novembre — Séverine Daucourt : “Ralentir : écrire l’éphémère”
Un moment suspendu pour apprendre à capter ce qui disparaît aussitôt qu’il advient.
– Vendredi 22 novembre — Milène Tournier : “Furtives secondes, minutes et heures, nos très intimes scansions”
Une exploration du temps intérieur, celui qui rythme nos jours et nos émotions les plus fines..
– Vendredi 29 novembre — Rim Battal : “Adresse à Maman”
Un atelier d’écriture intime et vibrant, où le temps se fait mémoire, filiation et transmission.
Entre découverte artistique et expérience sensorielle, La Fabrique du Temps s’annonce comme un rendez-vous incontournable pour tous ceux qui aiment écrire, lire, ou simplement habiter le temps autrement.
Souffler, ralentir, se souvenir, imaginer — quatre ateliers pour que les mots deviennent, le temps d’un soir, la plus belle des horloges poétiques.
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