« Si nous n’écrivons pas de poèmes, nous mourrons » : la résistance des poétesses afghanes en exil

Face à la chute de Kaboul et au retour des talibans, une génération de poétesses afghanes a choisi de résister par la poésie. « Si nous n’écrivons pas de poèmes, nous mourrons », écrivait Mahbouba Ibrahimi depuis son exil — un cri devenu manifeste pour celles à qui l’on tente de confisquer la liberté.

Réunies dans L’Exil, l’amour, la liberté (Calmann-Lévy), ces voix rassemblées et traduites du persan par Belgheis Alavi racontent l’arrachement, la mémoire, mais surtout la force indestructible des mots. Dispersées entre l’Afghanistan, l’Europe ou l’Amérique du Nord, elles écrivent désormais sur les réseaux sociaux pour que la liberté ne devienne pas un souvenir, mais une promesse.

Le Point consacre un article puissant à cette résistance littéraire, à lire en ligne ici :

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